Si l’utilisation de bois ronds caractérise les premières charpentes, l’équarrissage (“mise à l’équerre” ou transformation d’une grume en parallélépipède) a permis son véritable essor. Cette transformation s’est faite, jusqu’à l’ère industrielle, aux moyens de haches. Hormis les particularités régionales du type de hache ou de la méthode utilisée, l’équarrisseur laisse sur le bois une emprunte caractéristique, la trace de l’homme, à la fois personnelle et universelle qui donne à l’ouvrage un peu de cette âme qui manque tant aux constructions standardisée machinées.